Mercato – Sanches dans le viseur de l’AS Rome, ça se confirme !

Renato Sanches, milieu de 25 ans, est arrivé l’été dernier au Paris Saint-Germain en provenance du LOSC avec l’espoir qu’il amène notamment de la percussion et des gestes décisifs. Sauf qu’il a surtout enchaîné les blessures. Ce qui amène des doutes sur sa capacité à être un atout au haut niveau et il y a « forcément » des rumeurs. Il a notamment été question d’un intérêt de l’AS Rome. Ce que confirme Le Parisien ce mardi, avec le joueur et le PSG qui pourraient bien aller dans ce sens.

« D’après les informations du journaliste italien Gianluca Di Marzio, que nous sommes en mesure de confirmer, Renato Sanches est pisté par le club transalpin. La forme d’une éventuelle opération est encore à définir, même si Di Marzio évoque un possible départ en prêt. Ce dossier est notamment poussé par le coach José Mourinho, très intéressé par le profil de l’international portugais.

Le joueur est actuellement en pleine réflexion quant à la suite à donner à sa carrière et se pose des questions sur son futur. L’idée d’un départ durant le mercato estival ne serait donc pas à écarter.

De son côté, le PSG a été globalement déçu par le rendement d’un joueur auquel il croyait et misait beaucoup d’espoirs. Dans ces conditions, le club de la capitale ne ferme pas la porte à un départ de Renato Sanches et serait prêt à le libérer si une offre intéressante lui était adressée. »

Petit à petit, cet éventuel départ à l’AS Rome revient dans les médias. C’est possiblement car il y a en effet de première discussion. Pour le club italien, ce pourrait être un recrutement peu coûteux, avec peut-être une option d’achat ou autre (la forme du transfert est loin d’être fixée).

Quant au PSG, c’est une option pour dégraisser l’effectif s’il n’y a pas l’envie de donner une nouvelle chance au Portugais. Ce dernier pourrait avoir plus de place à Rome alors que Paris a un entrejeu aujourd’hui très fourni. Mais il n’y a encore rien de fait, ni une confirmation officielle des négociations. Restons donc prudents.