Mercato – Salvatore Sirigu, le PSG voudrait une indemnité de transfert finalement, selon L’Equipe

Salvatore Sirigu est proche d’un départ du Paris Saint-Germain vers le Torino depuis le début du mercato. Seulement, la situation ne semble pas avancer pour le gardien de 30 ans. Hier L’Equipe affirmait qu’une séparation à l’amiable était sur le point d’être conclue. Ce samedi, les informations du journal sportif sont très différentes.

« Le PSG ne compte plus pour la saison prochaine sur Salvatore Sirigu (30 ans), à qui il reste pourtant un an de contrat. Après avoir acté cette séparation et évoqué jeudi la possibilité d’une négociation à l’amiable, il semble que les deux parties n’étaient plus sur la même ligne hier. Et le dossier bloquait. En effet, le club parisien ne souhaite pas verser d’argent au gardien italien, ni le laisser partir gratuitement.

Après l’avoir recruté à Palerme en 2011 moyennant 3,5 M€ environ, le PSG entend demander une indemnité de transfert au club qui voudra le recruter. Cette nouvelle a profondément surpris Sirigu et son entourage, pour ne pas dire déçu. Si cette décision se confirme, la situation pourrait dégénérer entre l’Italien et son club. Aujourd’hui, Sirigu est encore un joueur du PSG. Voudra-t-il aller au bras de fer ? »

Il n’y a pas encore les contours du transfert, mais il semble bien se dessiner.

Difficile aujourd’hui de dire où en est vraiment le dossier. Il serait surprenant que la situation ait changé du jour au lendemain autant que cela est décrit par L’Equipe. Il ne faut pas oublier la tendance du quotidien à se tromper, voire lancer des rumeurs sur le PSG qui ressemblent plus à un moyen de créer des soucis. Comme l’annonce d’une volonté de départ de Javier Pastore (milieu offensif de 27 ans), qu’il a déjà démenti.

Sirigu va certainement partir cet été, puisque Paris ne comptait pas sur lui l’an dernier. Mais il manque encore de déterminer la forme de ce départ et la destination (certainement le Torino). Il suffit d’un peu de patience pour savoir ce qu’il en est vraiment. Il y a la place pour la surprise de le voir rester, mais on a du mal à y croire.