Adversaires
Bratislava admet son infériorité
« On est un peu partagés, parce qu’on est satisfaits de ce point, mais qu’en même temps on a terminé ce match à 11 contre 9. On a eu de la chance de ne pas encaisser de buts, vu les occasions qu’ils se sont créées. Nous, on a eu quelques opportunités en fin de match, surtout sur coups francs, mais on n’a pas marqué. On savait qu’ils étaient bons, et ils l’ont démontré », a admis Martin Dobrotka, le défenseur du Slovan.
Un sentiment d’infériorité partagé par son coéquipier Juraj Halenár, qui sait que son équipe et le PSG ne jouent pas dans la même cour. « On ne peut pas comparer le PSG et le Slovan. Le PSG possède de grands joueurs, ils sont vraiment forts, alors on a dû beaucoup courir et défendre. On a eu beaucoup de mal à attaquer, on a un peu laissé Filip (Šebo) seul en pointe. On a joué autant que notre adversaire nous l’a permis. Même à dix, c’est eux qui avaient encore la possession de balle. Quand ils ont été réduits à neuf, dans les 10 dernières minutes, ont aurait pu mieux utiliser le ballon et presser davantage », a toutefois regretté l’attaquant slovaque, qui sait sûrement que le match retour au Parc des Princes sera encore plus compliqué pour son équipe.