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Saint-Etienne comprend le PSG et le soutient pour le titre

     Alors qu’ils ont refusé de changer le match de date, les dirigeants de l’AS Saint-Etienne ont déclaré dans le journal Le Parisien qu’ils admettent que le calendrier n’aide pas le PSG.

« Que les choses soient claires. On a évoqué, mais il s’agissait en réalité d’un changement d’adversaire puisque Paris voulais jouer contre Metz en L1. Jamais dans l’histoire de notre football, un club n’a été autorisé par les instances à un changement d’adversaire. Vaut-il mieux jouer contre Metz, une équipe rugueuse luttant pour la survie en championnat ou l’ASSE, une formation joueuse en Coupe ? A chacun son avis. Les dirigeants du PSG sont des gens compétents et intelligents. Il savent aussi que les Stéphanois préfère les voir champions plutôt que Lyon, explique clairement le dirigeant de l’AS saint-Etienne, qui admet que le Paris Saint Germain n’est pas aidé par le calendrier démentiel. l’idéal aurait été que le PSG ne joue pas cette semaine pour garder ses forces et se préparer pour la finale de la Coupe de la Ligue, le 11 avril et le match aller contre Barcelone le 15 avril. Mais le calendrier ne le permettait pas. »

   Que l’ASSE montre du soutien maintenant, c’est bien. Mais ce n’est pas très utile. On essaiera de mettre de côté le fait que Saint-Etienne ne se considère pas comme une équipe rugueuse, d’après leur déclaration en tout cas. Certainement que les Verts préfèrent voir le PSG champion plutôt que Lyon, et ce ne devrait pas être un problème. Par contre, en Ligue des Champions, la vie peut-être difficile pour Paris. Changer la date du match était compliqué, mais l’ASSE n’a pas voulu, c’est la seule chose importante à retenir demain soir.

On compte sur le PSG pour surmonter la difficulté et tout donner pour y arriver de toute façon. Face à une équipe, nous le rappelons, qui a deux jours de repos de plus pour le match de demain. Un privilège dont l’ASSE n’a certainement pas voulu se défaire. En plus de ça, le PSG a encore rempli son infirmerie. Il n’y a que dans le péril que l’on gagne avec gloire, les Parisiens en savent quelque chose à force.

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