Wijnaldum évoque son adaptation facile, son bonheur, sa place et l’apprentissage du français

En marge de la conférence de presse ce samedi, Georginio Wijnaldum s’est arrêté au micro de PSG TV. Le milieu de 30 ans arrivé au Paris Saint-Germain cet été suite à la fin de son contrat à Liverpool s’est exprimé à propos de son adaptation très facile grâce à l’aide de ses nouveaux coéquipiers, son intégration dans le jeu, son poste et l’envie d’apprendre le français au plus vite.

Wijnaldum « Il y a toutes les raisons pour sourire. »

J’ai toujours l’air heureux ?

J’ai de bons sentiments. S’adapter à très facile, l’équipe m’a aidé, tous les joueurs m’ont aidé quand je suis arrivé. Ceux qui sont revenus de vacances ensuite aussi. Ce n’est pas difficile quand on arrive, mais il faut s’adapter à un changement de club pour voir comment sont les choses. Mais tout le monde m’a aidé, je n’ai jamais été seul.

Le club m’a aidé à chercher un logement, Ander Herrera m’a invité à son anniversaire. Les joueurs viennent vers vous. Le club et les supporters montrent aussi qu’ils vous apprécient. Il y a aussi eu la présentation au Parc, c’était un beau moment. Quand on arrive dans ce club, on a un très bon sentiment. Il y a toutes les raisons pour sourire. Je suis heureux de jouer au PSG.

Je sens déjà une connexion ?

Il y a une connexion aussi, mais il y a toujours de la place pour progresser. C’est ce que l’on veut tous. Je dois m’adapter, c’est une autre façon de jouer, d’autres joueurs. Mais en s’entraînant et en jouant, cela viendra. On va se comprendre mieux. Je suis avec de très bonnes personnes, qui m’aident. Il y a de bons sentiments pour moi et l’équipe. On va travailler dur pour remplir les objectifs.

Wijnaldum « je peux aider l’équipe de différentes manières. »

Ma position préférée ?

Ce qui compte, c’est ce que le coach décide et où il a besoin de moins. Je me sens mieux au milieu. Mais on travaille et on n’a pas une position fixe. Je suis polyvalent, je peux aider l’équipe de différentes manières. On verra. Je joue là où le coach me dit.

Le français ?

J’espère pouvoir faire l’interview dans quelques mois (rires). J’ai des cours. Mais la prononciation est très difficile (sourire). J’y consacre du temps et de l’énergie. C’est pour le football et la vie en général, c’est la langue du pays. Je vais faire de mon mieux.