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Pastore : « Marseille, ils sont morts ! »
Dans un entretien décalé réalisé par le magazine Surface, Javier Pastore est revenu sur la saison écoulée, avec par exemple les joueurs et les clubs qui l’ont impressionné.
Et au moment de désigner le meilleur joueur français selon lui, El Flaco n’hésite pas une seconde. « Matuidi, il a énormément progressé ! Je suis là depuis deux ans et ce n’est plus le même joueur. Il marque même des buts et a souvent couru à ma place (rires), à celle de Lavezzi, d’Ibra… (rires), a rigolé le milieu de terrain argentin, qui est aussi un grand admirateur de Sherrer Maxwell. Pour moi, Maxwell est le joueur qui m’a le plus impressionné techniquement. Ça ne se voit pas beaucoup sur le terrain parce qu’il joue défenseur mais aux entraînements, c’est le joueur qui m’a le plus bluffé. »
Concernant les équipes les plus compliquées à jouer, Pastore se souvient d’Evian Thonon-Gaillard, qui a éliminé le PSG en Coupe de France, mais aussi de l’OL. « L’équipe la plus difficile à battre ? Evian… (rires). Non franchement, Lyon. C’est un club historique qui joue bien au ballon, ce n’est jamais simple de les battre. L’OM ? Marseille, ils sont morts (rires) », a lâché le N°27 parisien, avant de poursuivre sur ses impressions sur les joueurs des autres équipes, les stades et le public. « Le joueur qui m’a le plus impressionné ? L’attaquant argentin de Nice, Cvitanich. Je l’avais déjà vu en Argentine et il a vraiment beaucoup progressé. J’ai été surpris par tous les buts qu’il a marqué cette année. Le meilleur gardien ? Sirigu, sans aucun doute. Autre que Parisien, le gardien de Toulouse Ahamada a fait une bonne saison à mes yeux. Le plus beau stade ? Il y en vraiment des beaux. Ceux de Lille et Valenciennes, ils sont tout neufs, je les ai trouvé pas mal. Le meilleur public ? Celui de Paris est bien, même s’ils nous ont beaucoup sifflés cette année (rires). Sinon, celui de Saint-Étienne. C’est celui qui se rapproche le plus des publics argentins. Le match le plus fou que j’ai joué avec le PSG ? Contre Barcelone, au Camp Nou. »
(Entretien complet à découvrir vendredi dans le nouveau numéro du magazine Surface)