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Monaco/PSG - Marquinhos "La base du football, c'est de travailler ensemble."
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Monaco/PSG – Marquinhos « La base du football, c’est de travailler ensemble. »

Le Paris Saint-Germain s’est incliné 3-1 face à Monaco (résumé vidéo Monaco/PSG) ce samedi au Stade Louis II dans le cadre de la 23e journée de Ligue 1 2022-2023. Après ce match, le défenseur et capitaine parisien Marquinhos (28 ans) s’est exprimé au micro d’Amazon. Le Parisien a évoqué cette période très difficile à vivre et la bonne réaction à avoir pour en sortir.

Marquinhos « Il ne faut pas pointer du doigt, c’est trop facile. »

Une défaite très difficile ?

Je pense que c’est dur, parce qu’on a très mal commencé avec le but qu’on encaisse très tôt. Après une déception, il faut rebondir vite. On a encore de gros matchs qui arrivent. C’est dans ces moments qu’il faut se parler, qu’il faut se dire les choses. Il faut regarder chacun de nôtre côté ce qu’on faire de mieux. Il ne faut pas pointer du doigt, c’est trop facile. On sait qu’il faut s’améliorer.

Marquinhos « Il faut se dire les choses. »

Quelque chose a lâché ?

Il ne faut pas lâché. On a perdu la Coupe, mais on a encore la Ligue des Champions et la Ligue 1. Il ne faut pas lâcher, c’est un moment difficile. Il faut continuer en rester serein, avec les pieds par terre. Il faut y aller, c’est un moment clef de la saison. Il faut vite rebondir et faire de meilleures prestations. C’est à chacun de regarder ce qu’il doit améliorer pour aider collectivement. Il faut se dire les choses. C’est dur de moment de traverser des moments comme ça.

Marquinhos « Il faut avoir de la sécurité, on sait que l’on a de la qualité. »

Comment retrouver une bonne dynamique ?

Dans ce moment, il faut savoir prendre du recul. La base du football, c’est de travailler ensemble. Il ne faut pas se précipiter. On a essayer de jouer vers l’avant, de presser. Il faut savoir que l’on n’est pas dans notre meilleur moment. Il faut avoir de la sécurité, on sait que l’on a de la qualité. Si on ne prend pas un but en début de match, on sait que l’on peut marquer.

On est des humains. On se parle dans les vestiaire. On laisse notre famille à la maison, on laisse beaucoup de choses passer. Sur le terrain, on ne veut pas perdre. C’est un moment difficile à traverser.

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