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Lucas : « Mardi, c’est le match de l’année »
En grande forme en ce moment, Lucas Moura s’est exprimé sur la course au titre et sur son bon match face à Reims. Et en ce qui concerne la Ligue des Champions, le prodige brésilien pense que le PSG se qualifiera pour les demi-finales s’il reste sérieux face à Chelsea à Stamford Bridge.
« Si on est déjà champion ? Non, pas encore. Mais nous sommes sur le bon chemin. Nous avons tout pour conquérir le titre une nouvelle fois. On a une grande équipe et nous sommes dans une bonne période. Ne soyons pas malhonnêtes. Nous possédons une belle avance(NDLR : 16 points ce matin). Il ne nous manque plus qu’une poignée de points. Mais attendons d’être mathématiquement champion pour se réjouir et célébrer. Contre Reims, nous avons fait un bon match. Malgré les nombreux changements, on a bien joué. Ça montre notre force. A titre personnel, je suis heureux d’avoir marqué. C’est mon premier but de la tête. Digne a centré, j’ai placé une tête qui a rebondi sur le poteau puis sur le défenseur avant de finir dans les filets. Alors, oui, c’est comme si j’avais marqué. En tout cas, je l’ai célébré comme tel car j’étais pressé de retrouver à nouveau le chemin des filets. J’espère que ce but me sera attribué. Mais, l’essentiel, c’était d’obtenir cette victoire qui nous rapproche du titre. Désormais, nous allons devoir bien nous reposer car un match très important nous attend mardi. Nous l’avons préparé de la meilleure des manières. Nous sommes tous très pressés de le disputer. Mardi, c’est le match de l’année. On a pris un bel avantage à l’aller. On a de grandes chances d’atteindre les demies. Mais rien n’est acquis encore car Chelsea est une grande équipe et ce sera difficile. Il faudra être concentrés, marquer afin de leur compliquer la tâche. Si on joue comme on l’a fait à Paris, on passera. L’absence d’Ibra ? Ibra est un joueur très important, c’est notre référence. Mais nous avons de très bons attaquants qui peuvent le remplacer. Mardi, nous jouerons pour lui », a déclaré Lucas dans les colonnes du Parisien.