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Italie/Hongrie (2-1) – Donnarumma heureux de porter le brassard « il n’y a pas de mots »
Gianluigi Donnarumma, capitaine de l’Italie contre la Hongrie (2-1) s’est arrêté devant les médias après la rencontre. Il a fait part de sa satisfaction d’être le capitaine de cette équipe. Il a aussi assuré qu’il était content de repartir de l’avant à la suite de la terrible désillusion lors de l’élimination pour le mondial 2022. Il assure que cette équipe d’Italie va se relever et il est fier d’être à la base de cette nouvelle histoire.
Donnarumma « On ira de l’avant avec notre volonté et notre union »
« C’était une émotion indescriptible de porter le brassard de capitaine, il n’y a pas de mots. Ma blessure à un doigt ? Pour ce maillot, on peut jouer même sans un doigt ! Je dois remercier l’encadrement médical qui m’a aidé au mieux parce qu’il y a deux jours ce n’était pas pensable de jouer. Avec la volonté et leur aide, j’ai réussi à entrer sur le terrain. Je jouerai tant que c’est possible.
Il y avait une grande envie de repartir ensemble, d’être bien ensemble. Il fallait une victoire pour bien repartir. On ira de l’avant avec notre volonté et notre union. Il y avait ce besoin de repartir avec ces jeunes joueurs qui sont arrivés, ils se sont mis à disposition, avec le bon esprit, parce que ce maillot n’a pas de prix. »
La sensation devait être extraordinaire, Donnarumma n’a que 23 ans, mais on dirait qu’il joue depuis toujours. Mais il ne faut pas oublier que c’est un jeune joueur. Avec l’élimination, il fallait insuffler quelque chose de nouveau et avancer. Le capitanat est symbolique, mais c’est tout de même un rôle extrêmement important, surtout dans l’un des plus grands pays de football.
En plus, il a joué avec un doigt blessé, cela montre comment le démarrage de ce nouveau projet est important. Il se devait d’être là et Mancini souhaitait qu’il soit là. L’Italie va devoir se relever de ses blessures. L’avantage, c’est qu’ils ont gagné l’Euro, ce qui permet de mieux vivre cette absence à la Coupe du Monde. Mais tout de même, on l’a vu, cela restera un sacré traumatisme.