Blanc : « Je n’ai que des compliments à faire »

Cela fait maintenant une semaine que Laurent Blanc occupe le poste d’entraîneur du PSG. Ces premiers jours de préparation se sont idéalement passés pour le technicien français et il l’a fait savoir ce lundi matin après la première séance d’entraînement de la journée.

« Comment se passe le stage ? Bien et même très bien. Il y a beaucoup de travail avec deux séances par jour. La fatigue commence à se faire sentir et c’est logique. Ce genre de stage me permet de mieux connaitre les joueurs. Le groupe va évoluer car on attend des joueurs qui vont revenir. En tout cas, ceux qui sont là sont exemplaires dans leur travail sur le terrain et à l’hôtel. Je n’ai que des compliments à faire. Le match de mardi face à Sturm Graz ? C’est certes une opposition mais pour pour moi, c’est un entraînement supplémentaire. Le jour du match, on va s’entraîner le matin. Contre cette équipe, ce ne sera qu’une séance d’entraînement, a indiqué Laurent Blanc, avant d’évoquer l’état de forme des trois joueurs qui ne se sont pas entraînés ce matin. Alex et Thiago Motta ? Il n’y a pas de problèmes. Ils sont préservés et font juste un travail supplémentaire de musculation. Il y a une préparation globale certes mais, à mes yeux, il faut éviter la blessure. Donc quand quelques joueurs doivent faire un exercice différent, ils le font à l’hôtel. Ménez ? Il est reparti en France passer des examens complémentaires. Je ne suis pas plus inquiet qu’avant sa venue mais sa blessure n’évolue pas dans le bon sens. »

Enfin, le coach parisien doit encore prendre des nouvelles de certains joueurs actuellement en vacances, notamment Ezequiel Lavezzi. « Je dois l’appeler ce midi. Il fait partie des hommes qui ont joué très tard la saison passée. Les retours se feront au cas par cas. Mais seuls Sakho et Matuidi nous rejoindront en Autriche. Et deux jeunes vont quitter le groupe (Ndlr : Antoine Conte et Adrien Rabiot, sélectionnés en équipe de France des moins de 19 ans) », a-t-il déclaré dans des propos rapportés par Le Parisien.