Barça/PSG – Rabiot « j’ai voulu jouer ce match, mais ce n’était pas la meilleure chose à faire. Je regrette »

Adrien Rabiot, milieu de 21 ans du Paris Saint-Germain, s’est exprimé auprès de la presse hier soir après la victoire contre l’Olympique Lyonnais (2-1, 30e journée de Ligue 1). Le Titi parisien n’a pas évoqué que la victoire, mais a aussi fait une confession avec quelques regrets. Il a fait savoir qu’il n’aurait sans doute pas dû jouer le 8 mars en 8e de finale retour de Ligue des Champîons contre le FC Barcelone (défaite 6-1).

« Je confirme, j’ai voulu jouer ce match, mais ce n’était pas la meilleure chose à faire. Je regrette parce que je n’étais pas à 100% et il aurait peut-être même fallu mettre quelqu’un d’autre à ma place. Mais je tenais à jouer ce match et c’est clair que j’ai été en difficulté. Ce n’est pas dû qu’à ça même si c’est clair que cela a joué. Oui, je regrette un petit peu d’avoir joué ce match dans ces conditions. Maintenant ? Oui, ça va mieux. »

La semaine avant le match, Rabiot avait été annoncé malade par le coach parisien Unai Emery. On pouvait donc comprendre qu’il soit un peu moins bien pour ce retour contre le Barça. Toutefois, on ne pensait qu’il était encore souffrant une fois qu’on a pu voir qu’il était titulaire.

C’est encore un élément où il avait sans doute mieux à faire.

L’entraîneur du PSG manquait un peu de solutions dans ce match, puisque Thiago Motta était encore blessé, Christopher Nkunku manque un peu d’expérience et Thiago Motta était encore blessé. Quant à Grzegorz Krychowiak, il n’a pas montré le niveau nécessaire pour une telle rencontre. On se dit en revanche que Javier Pastore aurait pu jouer, mais peut-être qu’il n’était pas au mieux physiquement. Cela dépend aussi de ce que Rabiot a dit au staff avant la rencontre. Il y a de quoi avoir quelques regrets après cette prestation effroyable de l’équipe.

Son état de forme n’explique pas tout, mais il est très clair que c’est tout de même un élément important. Le plus haut niveau se joue sur des détails, cela en fait partie. Paris, peu aidé par l’arbitre certes, a mis trop de ces « détails » à son désavantage.