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Aurier – Fernandez «du côté du PSG on ne doit pas être content»
Serge Aurier n’en finit plus de faire parler, arrêté et placé en garde à vue lundi suite à une altercation avec des policiers, le latéral parisien en est ressorti ce mardi. Le club lui n’a pas encore réagit à ce nouvel écart de Serge Aurier. Selon, Luis Fernandez, consultant pour RMC, les dirigeants ne doivent pas laisser pas ça sans le sanctionner.
« Et un, et deux, et trois ! On pensait que c’était terminé. Je pense qu’il faut aller plus loin maintenant et savoir sanctionner. Le PSG est une institution. Tu es quand même dans une entreprise, un club. Tu es un garçon qui doit servir d’exemple, qui a une certaine notoriété, qui a atteint un sommet que beaucoup de jeunes aimeraient aussi atteindre. Et toi là-haut, tu ne donnes pas le bon exemple. Tu ne fais pas ce qu’il faut faire pour qu’on puisse avoir une bonne opinion de toi.
Je pense que du côté du PSG on ne doit pas être content. Quand Leonardo a poussé un arbitre, on n’était pas content. En terme d’image, ça ne correspond pas. Les dirigeants ne veulent pas de ça. Ils veulent quelque chose de nickel et là il réapparaît. C’est un garçon que j’aime, sur le terrain on ne peut que l’apprécier, mais en dehors il n’y arrive pas, il se trouve toujours au mauvais endroit. Il doit être sanctionné. »
Le cas Serge Aurier doit être vite réglé, aussi talentueux qu’il est, le joueur ne cesse les dérapages qui pénalisent même le club. Son périscope dans lequel il insultait son entraîneur et certains de ses coéquipiers, n’a pas du créer une bonne atmosphère au sein du vestiaire, quoi qu’on en dise et veuille bien tenter de nous faire croire. Il faut rappeler aussi que le latéral parisien avait reçu 3 matchs de suspension suite à une vidéo où il insultait l’arbitre de la rencontre entre Chelsea et le Paris Saint-Germain (2-2). Vous ne pouvez pas d’un côté interdire des supporters de rentrer dans le stade suite à des événements passés qui pourraient » salir » l’image du club et d’un autre côté laisser un joueur, si bon soit-il, insulter son entraîneur, ses coéquipiers, enchaîner les dérapages, sans rien faire. Nous ne connaissons pour le moment pas tous les détails de cette histoire, mais force est de constater que le principal concerné lorsqu’on évoque un dérapage, reste souvent le même.