Riolo s’en prend à « l’intermittent » Neymar et Marco « tourniquet » Verratti

Décidément, le Paris Saint-Germain aura donc connu une saison 2018-2019 extrêmement délicate : champions de France, les hommes de Thomas Tuchel ont néanmoins contre performé dans les autres compétitions, la Ligue des Champions en tête. Sur RMC, Daniel Riolo s’est permis une charge contre certains joueurs parisiens. Le journaliste rebondit ainsi sur les mots de Neymar Jr en marge de la finale perdue face au Stade Rennais en Coupe de France. Dans son viseur : l’attaquant brésilien de 27 ans mais également Marco Verratti, milieu de 26 ans, sa victime favorite à n’en pas douter…

“Samedi soir, le Brésilien a réglé son compte aux jeunes pas bons du club. Sur le fond pourquoi pas.Il a certainement raison. Mais c’est bien d’être exemplaire quand on fait ça. D’être un vrai “king”. Pas un intermittent dans la vie du club. On dit souvent qu’il n’y a pas de patrons au PSG. C’est vrai. Pire, quel joueur peut se regarder dans une glace sans honte? Une petite poignée emmenée par Cavani. Le reste, Marco “tourniquet” Verratti en tête, sont d’une lâcheté sans nom.”, a écrit Riolo.

L’heure du bilan…

Si Marco Verratti était un sac de frappe, nul doute que Daniel Riolo s’en donnerait à cœur joie en ce qui concerne Il Gufetto. Certes, l’Italien ne possède pas la meilleure hygiène de vie qui soit, loin s’en faut, difficile d’imaginer cependant que cela mérite un tel acharnement médiatique de la part de Daniel Riolo. Et pour ce qui est de Neymar Jr, ce dernier est tout à fait légitime afin d’émettre des critiques quant aux joueurs de l’effectif et ce pour une raison très simple : l’auriverde reste le boss de cette équipe avant tout. Il n’est nullement un intermittent de la vie du club. La seule chose qu’on pourrait lui reprocher, mais cela n’est pas vraiment de son fait, c’est ses blessures répétées au pied droit.

Après oui, certains joueurs restent aujourd’hui difficilement défendables par rapport à leur attitude et à leur performance. À l’inverse, d’autre, à l’image dun Cavani qui a été absent au même titre que Neymar, ont toujours démontré un visage de conquérant. On pourrait citer Marquinhos ou Juan Bernat par exemple. On arrive donc à l’heure des bilans, et il faudra en tirer le plus de conséquences possibles afin de tenter de repartir sur des bases solides l’an prochain. Ce qui ne parait pas gagné d’avance.