Riolo insulte de « footix décérébrés » les supporters favorables à un retour d’Ibrahimovic au PSG

Daniel Riolo, journaliste, a donné son point de vue dans L’After Foot, sur le sondage réalisé par Paris United concernant l’idée hypothétique de revoir Zlatan Ibrahimovic au Paris Saint-Germain suite à la rumeur d’un intérêt du Suédois cet été (53.1 % de supporters se sont dits favorables sur environ 26 000 votants) après son départ en 2016. Riolo, fidèle à lui-même, ne comprend pas le résultat et n’hésite pas, comme souvent quand il y a un désaccord, à insulter la frange de supporters qui ne sont pas d’accord avec lui. 

Riolo « Je ne sais pas ce que vaut le résultat de ce sondage »

« Je ne sais pas ce que vaut le résultat de ce sondage (près de 26 000 votants, ndlr), mais il prouve une fois de plus que les supporters du PSG sont coupés en deux avec une énorme part de jeunes footix décérébrés… Evolution du foot à prendre en compte… malheureusement ! »

Riolo, aurait-il le syndrome Twitter ? Il insulte de plus en plus, quiconque n’est pas d’accord avec lui, son temps d’audience est rempli de ces moments où l’opposant ne peut dire ce qu’il a en tête sans se faire lyncher. C’est dans l’air du temps et il faut vivre avec. Ce qui est paradoxal, c’est qu’un sondage de 26 000 votants est tout de même très significatif. Mais avec ce journaliste, on ne sait jamais s’il fait une affaire personnelle de ses prises de position ou s’il ne souhaite seulement alimenter les ondes d’un buzz régulier. Il serait bien que Riolo sache un minimum s’ouvrir à un autre avis que le sien et ait au moins la décence de ne pas insulter ceux qui pensent différemment de lui.

En attendant, ses remarques perdurent et ce n’est pas une bonne chose. Chaque avis compte et aucun ne doit être démonté de la sorte. La haine ou l’intolérance n’apportent rien de bon et n’aident pas à faire des débats constructifs. D’autant que Zlatan Ibrahimovic a apporté beaucoup au PSG, si le personnage a pu déplaire, le joueur a donné tout ce qu’il pouvait pour Paris et en quatre années, il a marqué de son nom la Ligue 1. Le Suédois a permis à un championnat de prendre de la hauteur et au projet du PSG d’avancer.