Autour du PSG
Revue de presse : Barcola en difficulté et Luis Enrique trop restrictif
Ce lundi 23 septembre, la presse française (sur l’aspect sportif) s’est concentrée du côté du Paris Saint-Germain sur la période difficile traversée par Bradley Barcola (attaquant de 22 ans) et des consignes du coach Luis Enrique qui brideraient les joueurs parisiens.
Le Parisien –
L’Equipe –
Même quand le PSG gagne en maîtrise, il y a quelques critiques et articles cherchant une inquiétude. Alors avec un match nul, on s’attendait à une vague de négativité. Les cibles étaient aussi faciles à deviner.
Il faut bien admettre que Barcola ne brille plus depuis 3 matchs. Il a vécu des derniers mois exceptionnels et son retour de l’Equipe de France ne se passe pas facilement. C’est une étape à digérer. C’est logique dans une carrière et de toute façon cela arrive d’avoir un moment plus compliqué. Sur 3 rencontres, il n’y a pas de drame. Certains joueurs ont eu le droit à bien plus de loupés avant de voir une inquiétude être évoquée.
Laissons surtout le joueur et le collectif travailler afin d’avoir les meilleures solutions. Cela avec l’idée de jeu de Luis Enrique. Lequel a sans doute un plan précis et les joueurs doivent entrer dedans. C’est assez classique. Si les joueurs étaient simplement libres, les coachs ne serviraient pas à grand-chose.
Quand le PSG a enchaîné quelques victoires, les méthodes de l’Espagnol ont été mises en avant. Mais l’heure est à la critique, alors le journal s’est lancé. On voit dans cet article qu’il est demandé aux ailiers de ne pas utiliser la profondeur, que la transition rapide est même critiquée par le coach. Des exagérations qui s’appuient sur les critiques classiques que l’on voit.
Quand le PSG peut foncer sur le but adverse, il le fait. Mais l’adversaire est souvent bas, alors c’est plus difficile et le place peut manquer. C’est loin d’être nouveau. Aux Parisiens de trouver les solutions. Le retour des blessés offensifs ferait du bien, dont un 9 comme Gonçalo Ramos. Ce qui serait plus simple afin d’avoir un joueur qui joue vraiment en « buteur ». Ce que ne voudrait pas Luis Enrique, d’après l’article.