Autour du PSG
PSG – Ménès met la lumière sur les deux coupables de l’inefficacité
Encore une fois le Paris Saint-Germain a joué à se faire peur, après avoir rapidement mené au score sur un but de Zlatan Ibrahimovic. Il s’est ensuite procuré une multitude d’occasions franches sans pouvoir se mettre à l’abri. Et le retour des lorientais a semé le doute dans les têtes parisiennes. La faute à qui ? Pierre Ménès a ses coupables.
On ne parle pas là de Cavani qui a simplement pris l’air au Parc mais de l’ulcérant Lavezzi qui vient de vendanger quatre occases énormes en trois matches. Et quand il sort, il rigole sur le banc. Certains le trouvent meilleur que Lucas. En ce moment c’est vrai : le Brésilien est blessé.
Comme trop souvent Ezequiel Lavezzi a encore fait grincer les dents des supporters parisiens du coté de la porte de Saint-Cloud, des occasions en veux tu en voilà, des passes ratées, et un manque cruel de finition devant le but de Benjamin lecomte.
On peut comprendre l’énervement des fans parisiens à son encontre, depuis la reprise on sent un manque totale de confiance de l’attaquant parisien, qui se bat pourtant comme un diable, mais force est de constater qu’il vendange un nombre incalculable de situations qui auraient pu et même dû mettre le PSG à l’abri d’un retour lorientais, et d’une fin de match crispante sans l’intervention de Verratti sur sa ligne de but.
Cavani lui a œuvré à la construction du jeu Parisien, comme à son habitude, il se démène aux quatre coins du terrain, mais est un peu brouillon dans les zones de vérités, alors qu’il n’est pas toujours servi dans les bonnes conditions.
On connait la suite, un triplé de Zlatan, réponse ou non au pétage de plomb à Bordeaux, un penalty qu’on peut penser généreux à vitesse réel, mais qui au ralenti se justifie totalement. On retiendra de cette journée la prise de pouvoir du Paris-Saint-Germain, avec la défaite du leader Lyonnais à domicile face aux Aiglons. Une fin de championnat plus que chargé qui attend les Parisiens.
Un article rédigé par notre nouveau rédacteur Matteo Colafranceschi.