Autour du PSG
Le PSG 10ème au classement des plus grosses valeurs financières des clubs européens
Les résultats des analyses financières se suivent mais ne se ressemblent pas, et ça se vérifie encore avec la publication par le cabinet d’analyse financière KPMG du classement des clubs européens qui possèdent la plus grosse valeur financière. Un classement relayé par le quotidien L’Equipe.
Il n’y a pas longtemps encore l’étude annuelle du cabinet d’analyse financière Deloitte a confirmé que le PSG est devenu le quatrième club le plus riche du monde en générant plus de 480 millions d’euros de revenus lors de la saison 2014-15.
Il n’y a pas longtemps non plus, que le magazine américain Forbes, spécialiste en économie, a publié son classement mondial des entités sportives les mieux valorisées, donc les plus bankables, avec un constat alarmant : aucune entité française ne figure dans le top 40 de ce classement, pas même le PSG.
Mais voilà que L’Equipe relaye les résultats un peu plus rassurants de l’évaluation financière effectuée par le cabinet KPMG, laquelle révèle que seulement 4 clubs français figurent parmi les 32 clubs européens qui possèdent la plus grosse valeur financière.
La place d’honneur revient au PSG classé dixième (843 M€), mais qui « se trouve bien loin du Real Madrid et de Manchester United, qui figurent en tête (2,9 milliards) Monaco, Marseille et Lyon se classent aux 26e, 27e et 29e places, rapporte L’Equipe. Toute-puissante, l’Angleterre place, elle, cinq clubs dans le top 10 (MU, 1er, Arsenal, 5e, Man City, 6e , Chelsea, 7e, et Liverpool, 8e). Ce classement a été établi en fonction des critères suivants : rentabilité, popularité, potentiel sportif, droits de diffusion et propriété du stade ».
Il faut relativiser toutefois, ce classement qui reste les fruit des critères retenus pour le réaliser, et qui reste très relatif et susceptible de lui faire dire ce que l’on veux en modifiant un critère ou deux.
Ceci dit, une constante est confirmée par presque toutes les analyses, le PSG est la seule entité en France qui est progression financièrement, mais elle demeure encore loin des géants européens, même si l’écart se réduit de saison en saison.