Autour du PSG
Pastore préfère ne pas toujours écouter Ibrahimovic afin de rester concentré
Ce n’est pas nouveau, Zlatan Ibrahimovic est un compétiteur dans l’âme et veut toujours gagner. Mais le numéro 10 du Paris Saint-Germain aime aussi rigoler et chambrer ses partenaires. D’ailleurs, Jean-Christophe Bahebeck était revenu sur la petite moquerie de Zlatan à l’égard de son rendement la saison précédente, on l’a aussi vu lors du Classico, rencontre durant laquelle il s’est moqué de Lavezzi qui aurait exagéré une douleur. Cette fois, c’est Javier Pastore qui avoue être parfois la cible des vannes du suédois, auxquelles il ne prête pas toujours attention.
C’est dans 100% PSG que El Flaco s’est exprimé « Difficile de se souvenir de la première vanne d’Ibra…Car il n’arrête pas de chambrer. D’ailleurs, j’avoue que je préfère ne pas l’écouter pendant les entraînements afin de rester concentré durant les exercices. »
Ibra ne fait pas que s’énerver pendant les matchs donc, mais prend aussi un certain plaisir à chambrer ses coéquipiers durant les séances. Cela montre au moins qu’il n’est pas toujours énervé et est capable d’humour, ce que certains médias semblent ignorer. Il faut jusque que cela reste sans méchanceté afin de ne pas vexer un joueur et créer des tensions dans le groupe. Tant que c’est bon enfant, ce ne peut être que bénéfique, même si cela nuit parfois à la concentration. Aucun doute sur le fait que Ibrahimovic n’en abuse pas. Reste à savoir si certains joueurs osent chambrer Ibra et quelle serait sa réponse. Mais tant qu’il est écouté par ses partenaires en match, il ne devrait pas trop s’énerver.
C’est aussi bien de la part de J. Pastore de vouloir rester concentré sur ses exercices et match afin de continuer d’enchaîner les bonnes performances. Surtout qu’on a pu le voir quelques fois, lorsque l’argentin n’est pas à fond sur ses matches et ses gestes, le résultat est bien moins réjouissant. Il ne faut pas non plus que le numéro 27 du PSG se coupe du groupe et de l’ambiance afin de ne pas s’isoler. Surtout qu’il serait assez surprenant de voir que ses coéquipiers ont souvent matière à le chambrer, à part peut-être sur ses frappes.