Autour du PSG
Le Parc des Princes ne pourra pas dépasser les 55 000 places, les VIP mis en avant
Depuis quelques jours, il y a beaucoup de bruits autour des discussions entre le Paris Saint-Germain et la mairie de Paris pour l’avenir du Parc des Princes. Cela parce que le club aimerait être le propriétaire de son stade, ce que la mairie bloque pour le moment. Ce qui pourrait mener à un départ vers un autre stade. Et s’il reste au Parc, le PSG devra faire avec une limite architecturale. Le Parisien fait en effet savoir que l’espoir d’atteindre les 60 000 places est à oublier puisqu’il ne sera pas possible d’aller au-delà de 55 000 places (contre 47 929 aujourd’hui).
« Lorsque le Qatar a ouvert le dossier de l’agrandissement du Parc, l’objectif était de porter la jauge à 70 000 places. Les dirigeants parisiens ont multiplié les études et retourné le problème dans tous les sens mais se sont vite rendu compte qu’il était même impossible d’atteindre les 60 000 places. La jauge dépassera difficilement les 55 000 places.
Selon nos informations, le club cherchera surtout à faire du Parc un stade ultramoderne et à augmenter sa capacité d’accueil pour les VIP. Actuellement, les 5 000 places en loges représentent 50 % des revenus billetterie. Autrement dit, 10 % du stade représentent quasiment 50 % des revenus. Avec 500 millions, ils peuvent construire un stade neuf, hypermoderne, sans jauge limite. »
Une annonce importante, puisque cela signifie, si cela se confirme, que le PSG ne peut pas s’approcher du projet qu’il avait en tête. C’est un élément à prendre en compte dans le choix pour son avenir. Pour les supporters aussi, qui n’auraient donc pas un grand gain de places, et donc de possibilités pour venir (d’autant plus avec un espoir que certaines places soient moins chères si elles sont beaucoup plus nombreuses).
On se doute que Paris cherche encore des solutions et on est encore loin du bout de ce dossier, qui semble toujours plus compliqués. Les paramètres sont nombreux, puisque le PSG ne veut pas mettre de côté son histoire, ni ses supporters, ni ses revenus.