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PSG/Dortmund - Di Meco ç propos du huis clos "Ça va être triste."

Autour du PSG

Di Meco s’insurge contre Riolo concernant les critiques sur Verratti qui sont « inaudibles »

Eric Di Meco, ancien joueur et aujourd’hui consultant, s’est exprimé sur RMC sur la mauvaise foi de son confrère Daniel Riolo, journaliste, sur le cas Marco Verratti, milieu du Paris Saint-Germain de 28 ans. Il reproche à son collègue de ne pas avoir d’arguments dans ses critiques envers le Petit Hibou du PSG. Une mise au point salutaire de Di Meco sur des critiques à répétition de plus en plus difficile à supporter.

Di Meco « Daniel ne peut pas nier qu’il a été bon parce qu’il a été bon… »

“J’ai jamais fait de débats sur lui avec Verratti. C’est le principal pourfendeur de Verratti. Le problème c’est qu’il devient inaudible quand c’est récurrent et pas justifié. Contre la Belgique, c’est énorme. Daniel ne peut pas nier qu’il a été bon parce qu’il a été bon… Mais il te dit qu’il a été bon parce que Jorginho touche 150 ballons par match et Verratti seulement 50 et que c’est quand il touche 50 ballons qu’il est bon. À l’arrivée, on se rend compte que c’est celui qui a touché le plus de ballons du match… Quand tu veux critiquer un joueur qui fait un bon match, prends des bons arguments”, propos relayés par Debats Sports.

Que cela fait du bien de voir du répondant sur ce sujet. La situation est devenue de plus en plus grotesque tant, Riolo « tape » sur Verratti de façon grotesque. Il n’a pas d’arguments et quand on lui en donne, il les rejette avec une mauvaise foi inacceptable pour un journaliste avec une telle audience. Le recadrage de Di Meco montre à quel point tout cela dépasse les limites. La mauvaise foi est le centre de tous les débats et si quelqu’un « s’amuse » à contrer sa vision des choses, il est renvoyé dans les cordes par un Riolo qui monte dans les tours et qui use de son agressivité pour fuir les faits. Les statistiques de Verratti montrent qu’il fait le job, mais le journaliste de RMC continue de le démolir publiquement.

Il n’est pas question de défendre Verratti coûte que coûte, mais bien de rester juste et mesuré sur ses prestations. Riolo a le droit de ne pas aimer le joueur, son style, son hygiène de vie mais à aucun moment il ne doit faire passer son opinion personnelle comme celle que tout le monde doit adopter. Il est temps de mettre fin à ce marasme qui devient « gênant » dans une émission qui revient chaque soir sur les débats du jour. La réponse de Di Meco est parfaitement adaptée. Verratti a le droit à un traitement juste et le croisement avec les statistiques doit permettre de donner un avis honnête sur le sujet.

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