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LDC - PSG / Chelsea, David Luiz "un match difficile avec des joueurs incroyables des deux côtés

Adversaires

David Luiz n’a « rien à dire » sur Mourinho à part qu’il a perdu

         Lors de Chelsea – Paris Saint-Germain, il y avait, comme on dit souvent, « un match dans le match ». David Luiz retrouvait son ancien club, qui l’a vendu « avec plaisir » d’après José Mourinho, l’entraîneur des Blues. Le Brésilien avait aussi un duel assez âpre à vivre avec Diego Costa. Dans Ojogo, il est revenu sur sa soirée, sans vouloir spécialement parler du Special One.

« Mourinho ? Je n’ai strictement rien à dire à son sujet. Je parle de mon entraîneur, Laurent Blanc. Mourinho est un grand entraîneur qui a remporté des trophées partout, je sais ce qu’il a demandé à ses joueurs face au PSG. On le sait, il est fort pour remporter la bataille psychologique à coup de bons mots. Mais cette fois, on peut dire que ça n’a pas fonctionné comme il l’espérait. Ce fut très difficile, l’adrénaline est passée au dessus de la fatigue. A la mi-temps, tout le monde y croyait dans le vestiaire. Diego Costa ? Je n’ai pas mis de coups de coude, Mourinho peut dire ce qu’il veut. Avec Diego Costa, il y a toujours une bataille qui s’installe. Mais on peut aussi parler du fait que lui m’a asséné un coup de coude. »

Loin du jeu de déclarations de Mourinho, David Luiz préfère rester dans le respect et ne pas s’épancher sur ce qu’il pense de ses adversaires. Sans oublier toutefois de l’égratigner, discrètement, presque doucement. Et, même s’il ne l’a pas dit clairement, certainement que cette qualification lui fait particulièrement plaisir. Pour ce qui est du coup de coude, c’est simplement le summum de la mauvaise foi du Special One. Oser évoquer un possible mauvais geste sur D. Costa, après tout ce qu’il a fait durant le même, c’est très osé.

On peut se réjouir de voir que le PSG a abordé ce match différemment, par le jeu. Les stratégies de Mourinho sont généralement efficaces, il est plaisant de voir que cette fois cela n’a pas suffit face au jeu et l’envie des parisiens.

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