Autour du PSG
CDF – Pierre Ménès souligne la belle mentalité du PSG « de vrais pros »
Après un match laborieux à cause des conditions de jeu difficiles (terrain de faible qualité et une pluie battante), le journaliste Pierre Ménès a tenu à féliciter le Paris Saint-Germain pour sa victoire contre Niort en 8e de finale de Coupe de France hier soir (0-2). Il l’a fait avec le tweet suivant :
On aime ou on aime pas le PSG mais leur joie à Niort dans un Match pourri et un terrain odieux est digne d'éloges. De vrais pros
— Pierre Ménès (@PierreMenes) March 1, 2017
Il est vrai que le terrain ne favorisait pas la pratique du football et a même donné place à quelques scènes de glissades et comportements étranges du ballon. Comme cette frappe de Lucas à du côté de la surface qui se stoppe un peu devant la ligne alors que la cage était vide (et le tir peut-être pas cadré, mais il n’aurait pas dû s’arrêter ici).
Comme le souligne le journal L’Equipe dans son édition du jour, il a fallu un « Paris tout terrain » pour venir à bout de ce match contre vents et marrées. Néanmoins il faut souligner la prestation de Niort qui à été solide et s’est battu jusqu’au bout, notamment son gardien qui a été décisif (5e, 11e, 23e, 57e).
Paris est allé chercher la qualification à l’envie…et un peu de talent.
L’expérience, la combativité, et la persévérance du PSG lui ont permis de se sortir de ce traquenard. Sans oublier les choix du coach Unai Emery qui a fait entrer en jeu Pastore à la 75e minute, pour ouvrir le score sur un coup franc tiré par Nkunku. L’Argentin a également était passeur décisif sur le but de Cavani (lui aussi entré en fin de rencontre) à la 93e minute. Et comme le souligne Ménès, on a pu apprécier la joie des Parisiens sur chacun de ces buts et au coup de sifflet final. On sent une vraie envie de jouer et gagner ensemble dans le groupe actuellement.
Le PSG est donc toujours en compétition sur les 4 tableaux, et après cette victoire méritée mais difficile dû aux conditions de jeu et à une équipe de Niort solide et combative, les Parisiens peuvent bien s’octroyer les mérites à leur retour au village du Camp des Loges.