Mercato – Diaby, un départ à Aston Villa qui va rapporter au PSG !

Le Paris Saint-Germain négocie bien mieux ces dernières années. La preuve, le club parisien rajoute des pourcentages à la revente dans les transferts de ses jeunes titis notamment. C’est le cas avec Moussa Diaby, vendu 15 M€ à Leverkusen, le club parisien va récupérer 20 % sur la plus valu de son transfert à Aston Villa comme l’évoque RMC Sport. On parle d’une valeur de 10 à 12 M€ selon les bonus.

« Le Paris Saint-Germain avait négocié au passage un pourcentage à la revente important »

« Moussa Diaby vendu pour 15 millions d’euros au Bayer Leverkusen à l’été 2019, le Paris Saint-Germain avait négocié au passage un pourcentage à la revente important, s’offrant la possibilité de récupérer 20% du montant d’une éventuelle revente.

« Cela assure donc aux finances parisiennes une manne avoisinant 10 millions d’euros »

L’ailier de 24 ans, formé à Paris et devenu international tricolore depuis (10 sélections), va être acheté pas moins de 50 millions d’euros par Aston Villa, auxquels peuvent s’ajouter 10 millions de bonus. Cela assure donc aux finances parisiennes une manne avoisinant 10 millions d’euros, un montant pouvant grimper jusqu’à 12 millions en fonction du débloquage des bonus éventuels. Un pécule loin d’être négligeable pour un club qui éprouve des difficultés régulières à bien vendre ses joueurs. »

À défaut de faire jouer les jeunes, au moins, il faut récupérer sur leurs éventuels transferts. Avec Diaby, c’est un moindre mal, puisque le PSG récupère pas mal d’argent sur la transaction. C’est dommage car le joueur aurait peut-être mérité de jouer au PSG, mais en l’état, garder la lucidité et mettre des pourcentages à la revente est une excellente décision.

On espère que c’est le cas pour tous les joueurs qui quittent le PSG, surtout, comme on l’a vu, dès qu’ils prennent leur envol de Paris, ils retrouvent des couleurs ou se mettent à (re)performer. Il n’est pas rare de voir un joueur exploser à son niveau en quittant le nid parisien. Autant donc sécuriser les reventes qui, on l’a vu, rapportent gros.