Anciens – Un journaliste accuse Lavezzi d’avoir fumé un joint avant Brésil – Argentine

Alors que le débat sur la dé-pénalisation du cannabis réapparait en France, Ezequiel Lavezzi, l’ancien ailier du Paris Saint-Germain (juin 2012 à janvier 2016) et chouchou du Parc des Princes, est accusé par un journaliste argentin d’avoir fumé un joint avant le dernier Brésil – Argentine (3-0), ce qui lui aurait valu sa place sur le terrain.

Après la cuisante défaite face au Brésil vendredi dernier, tout un pays recherche des coupables. Y compris les journalistes qui ne sont pas avares de polémiques. Grabriel Anello, journaliste sportif argentin, révèle que la non apparition de l’ancien attaquant du Paris Saint-Germain sur la pelouse de Belo Horizonte face au Brésil dans le match de poule pour les éliminatoires de la Coupe du Monde 2018, serait due à une consommation de cannabis la veille du match.

Une rumeur que Pocho dénonce et qui l’a amené à traduire le journaliste en justice, puisqu’il a porté plainte contre ces mensonges et ces propos diffamants.

Connu pour son gout de la fête lorsqu’il était à Paris, le joueur du Hebei China Fortune est la cible idéale pour ce genre de rumeur. Mais l’international argentin a toujours été quelqu’un de droit lorsqu’il s’agissait de football. Son air sympa et relâché en dehors des matchs cache un peu sa formidable grinta qui lui permet sur un terrain, de tout donner, aussi bien en attaque qu’en défense. Il restera pour ceci dans la mémoire des supporters Rouges et Bleus comme un joueur très apprécié. Et ce dernier a été protégé par son équipe, fatiguée des critiques et accusations. Lionel Messi s’est ainsi exprimé face à la presse en étant entouré de tous ses coequpiers:

« Nous avons pris la décision de ne plus parler à la presse, vous savez tous pourquoi. Il y a eu beaucoup d’accusations lancées contre nous, beaucoup d’irrespect et les accusations visant Pocho (le surnom de Lavezzi) sont très sérieuses. Nous savons que la plupart d’entre vous ne rentrent pas dans ce jeu de l’irrespect, on peut être critiqué quand on perd, quand on joue mal, mais là, cela devient personnel. Si on ne dit pas stop maintenant, on ne le fera jamais », propos relayés par Le Parisien.

Espérons que tout ceci se calme et que l’Albiceleste retrouve un peu de sérénité dans cette période trouble. Sa victoire 3-O hier face à la Colombie devrait aider.