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Zlatan Ibrahimovic, "comme l'adjoint" de Carlo Ancelotti dans le vestiaire

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Ancelotti « Zlatan m’a été d’une aide précieuse….Il était comme mon adjoint »

Carlo Ancelotti, ancien entraîneur du Paris Saint-Germain de janvier 2012 à juin 2013, a dévoilé pour  le journal allemand Bild le rôle qu’a réellement joué Zlatan Ibrahimovic dans le vestiaire parisien. Des mots forts de la part de l’Italien.    

« Au PSG, j’ai peut-être relevé le défi le plus compliqué de ma carrière. Ce club, qui voulait faire partie des meilleurs d’Europe, n’avait pas encore la mentalité requise pour aller au bout de ses ambitions. Nous avons progressivement grandi. Je tiens à préciser que Zlatan m’a été d’une aide précieuse au quotidien. Il était comme mon adjoint « .

Au moment de son arrivée, Carlo Ancelotti détenait un effectif bien loin de celui d’aujourd’hui. De nombreux joueurs ne possédaient ni la carrière ni les qualités des joueurs qu’avait l’habitude de côtoyer l’entraîneur. De plus, la mentalité de certains joueurs ne collait pas avec les nouvelles ambitions du club. Une difficulté supplémentaire pour le coach italien.

Zlatan Ibrahimovic, un atout clé

Le transfert de la superstar Zlatan Ibrahimovic en juillet 2012 va changer bien des choses. En effet, ses qualités footbalistiques et sa haine pour la défaite ont fait passer le club de la capitale dans une autre dimension. Cependant, évoluer avec des joueurs d’un niveau bien en dessous du sien n’a pas toujours été évident pour le géant suédois. Certains épisodes comme son coup de sang à la mi-temps  le prouvent. Par exemple, lors du match PSG/Troyes en novembre 2012, où le Suédois avait eu un énorme coup de sang. A cette époque, il avait déclaré avoir l’impression de jouer avec ses enfants.

Son mental de guerrier a alors fait beaucoup de bien. Que ce soit à l’actuel entraîneur du FC Bayern Munich ou au club de la capitale. Et qui a enfin permis à l’effectif parisien de réaliser de très grandes choses durant la période où le Suédois évoluait à la pointe de l’attaque parisienne. Une époque où le club collectionnait les victoires. Et surtout, les trophées.

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