PSG/Lyon – Prêcheur « beaucoup de choses pour construire »

Ce dimanche, le Paris Saint-Germain s’est incliné 1-2 face à l’Olympique Lyonnais dans le cadre des demi-finales retours de la Ligue des Champions (3-2 pour Lyon à l’aller). Après la rencontre, l’entraîneur parisien Jocelyn Prêcheur s’est exprimé au micro de PSG TV à propos de cette défaite synonyme d’élimination. Il y a bien sûr de la déception, mais le coach n’oublie pas du positif et une fin de saison avec la D1 et la Coupe de France encore en jeu.

Prêcheur « je n’ai rien à reprocher aux filles. »

Quel sentiment après le match ?

On a toujours cette frustration du résultat, alors que l’on fait, je pense, vraiment un bon match. Cette entame ne nous aide pas, c’est sûr. Mais derrière on revient très bien, on fait une grosse première mi-temps, on a l’ascendant sur le jeu, on les accule dans leur camp. Chose dont elles n’ont pas l’habitude. Et on est récompensé.

Après, on s’expose parce qu’on est dans l’obligation de marquer. On paie un peu le résultat de l’aller. On doit pousser et elles ont été efficaces en contres. On paie des petites erreurs sur des moments clefs du match. On aurait pu être plus costaud dans ces moments. Mais globalement, je n’ai rien à reprocher aux filles. Elles ont vraiment donné le maximum pour avoir un meilleur résultat.

Cela n’a pas suffi ce soir, donc il y a de la déception. Mais également beaucoup de fierté pour le parcours réalisé et de l’espoir. Je vois beaucoup de choses sur ces 2 matchs pour construire pour la suite, à long terme mais aussi avec les trophées nationaux à jouer cette saison.

Prêcheur « On veut gagner et ramener des trophées au PSG. »

La mission c’est de s’en remettre pour bien finir ?

Oui, il va falloir un moment car on est très déçu au regard de la performance et des efforts. Mais c’est évident qu’il va falloir très vite se reconcentrer sur la fin de saison. On a 2 trophées encore à jouer. On veut gagner et ramener des trophées au PSG. Le groupe le mérite, on travaille dur pour cela et ce sera l’objectif.