Revue de presse : PSG/Lyon, Barcola, visite de l’émir et défaite des Féminines

Ce dimanche 21 avril, la presse française (sur l’aspect sportif) s’est concentrée du côté du Paris Saint-Germain sur la réception de l’Olympique Lyonnais ce soir à 20h45 au Parc des Princes en clôture de la 30e journée de Ligue 1 (retrouvez ici les équipes selon la presse). Il y a un mot sur Bradley Barcola (attaquant de 21 ans arrivé depuis Lyon l’été dernier et qui s’est imposé à Paris), la visite de l’émir du Qatar au centre d’entraînement hier et la défaite des Parisiennes samedi soir à Lyon en demi-finale aller de la Ligue des Champions (3-2).

Le Parisien –

L’Equipe –

Même si le PSG et Lyon sont éloignés au classement, ce match entre le 1er et le 7e reste particulièrement attendu. Il y a un parfum d’histoire, un peu de rivalité et de belles qualités sportives de chacun côté. Paris veut le titre au plus vite, alors que les Lyonnais sont la surprise de 2024 en jouant la course à l’Europe alors qu’ils étaient 18es il n’y a pas si longtemps. Le PSG a en plus envie de fêter sa qualification en demi-finale de la Ligue des Champions. On pourrait avoir une belle soirée, avec peut-être des surprises.

Barcola sera forcément un peu au centre de l’attention, puisqu’il affronte son club formateur avec une place de titulaire gagnée au PSG ces dernières semaines. Il sort notamment d’un grand match contre le FC Barcelone et voudra confirmer. Attention ne peut pas vouloir trop en faire.

La visite de l’émir peut être vue comme l’occasion de féliciter le groupe pour son parcours déjà intéressant, avec possiblement l’envie d’insuffler encore de la force pour la suite. C’était aussi visiblement pour faire un point sur l’avancée dans la vie du centre d’entraînement, lancée enfin pour cette saison et point déterminant dans le projet parisien.

Enfin, les Parisiennes ont vécu une terrible fin de soirée samedi à Lyon. Elles ont mené 0-2 sur un doublé de Marie-Antoinette Katoto, puis ont craqué en 6 minutes sur la fin de match et s’inclinent 3-2. Ce qui laisse de la place pour l’espoir au retour le 28 avril au Parc des Princes, mais est forcément un coup sur la tête.