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Bernat veut « rester longtemps au PSG » et s’améliorer en français
Juan Bernat, arrière gauche de 27 ans arrivé au Paris Saint-Germain en 2018 en provenance du Bayern Munich, s’est confié auprès de So Foot. L’interview complète sera dans l’édition de ce jeu, mais le média sportif a déjà partagé un extrait. L’Espagnol y annonce sa volonté de rester « longtemps » dans la capitale et de faire des progrès dans sa connaissance de la langue française.
« J’ai envie de rester longtemps à Paris. J’aime la ville, le club. J’ai envie de me poser dans la durée ici. Mais il va falloir que j’apprenne le français. Ça ressemble à un mix entre l’espagnol et le catalan, mais je suis loin de le maîtriser. Je parlais mieux l’allemand que le français. Ça viendra. Je prends des cours, mais il va falloir que je m’investisse un peu plus. Pour l’instant, je ne suis pas très constant dans ce domaine. »
Alors que le contrat de Bernat s’arrête en 2021, cette déclaration fait comprendre qu’il n’a pas l’intention de chercher à partir cet été ou d’attendre de partir librement dans un an. On peut penser qu’il y aura prochainement une prolongation de contrat. Il serait incompréhensible que le PSG ne cherche pas à garder cet excellent latéral qui a prouvé qu’il sait être au niveau pour les grands soirs. D’autant plus quand il affiche une volonté aussi claire de s’inscrire au club dans la durée et de maîtriser la langue. On peut attendre avec confiance qu’un accord soit trouvé.
Davy Dav
17 juin 2020 at 14:25
Bernat c’est le gars qu’on attend pas et qui pourrait marquer le but victorieux en LdC ahahah…
NicolasB
17 juin 2020 at 14:54
Il marque souvent en LDC en plus ^^
Davy Dav
17 juin 2020 at 14:25
Bernat c’est le gars qu’on attend pas et qui pourrait marquer le but victorieux en LdC ahahah…
Verratti10
17 juin 2020 at 11:06
mais non juanito c’est le catalan le mix entre le français et l’espagnol …
t’as juste à oublier le catalan qui est un patois et apprendre le vocab fr car les mots c’est le même ordre qu’en spingouin. Fais pas le ribery tes coéquipiers l’ont appris