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Di Maria se confie à propos de ses buts préférés, son idole et sa célébration
Angel Di Maria, ailier de 32 ans arrivé au Paris Saint-Germain en 2015 en provenance de Manchester United, s’est confié dans la dernière rubrique du club parisien. Un « Quick Fire » dans lequel l’international argentin (102 sélections), aussi passé par Benfica (2007-2010) et le Real Madrid (2010-2014) après avoir commencé à Rosario Central, évoque son but le plus important, le plus beau qu’il a inscrit, le plus beau qu’il ait vu, son idole et sa célébration sur ses buts.
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🏃♂️🔥 Ses plus beaux buts, ses rituels d'avant-match, sa célébration ❤️… Ángel Di María nous dit tout dans ce Quick Fire ! pic.twitter.com/vDVZKs6I3c— Paris Saint-Germain (@PSG_inside) May 27, 2020
Di Maria « les Jeux Olympiques ont été très importants pour moi. »
Mon but préféré ?
Le but le plus important c’était lors de finale des Jeux Olympiques 2008 contre le Nigéria. Un but important car c’était une finale et j’étais entouré de grands joueurs et cela reste un moment unique pour moi. J’étais à Benfica et je ne jouais pas et les Jeux Olympiques ont été très importants pour moi.
Mon plus beau but ?
J’en ai inscrit plusieurs ! (rires) Mais je dirais celui face à Nice cette année. Je pense que le geste sur ce but est très difficile à réaliser car il y avait très peu d’espace. Ça a été un très beau but et très important pour moi.
Di Maria « C’est l’un des plus beaux buts que j’ai vu. »
Le plus beau but que j’ai jamais vu ?
Je l’ai vu plusieurs fois, c’est celui de Maradona et Messi. Les deux partent du milieu de terrain, en dribblant le gardien et en finalisant l’action de la même manière. C’est l’un des plus beaux buts que j’ai vu.
Mon idole ?
Kily Cristian Gonzalez car il jouait à la même position que moi dans de grandes équipes d’Europe et en sélection argentine. C’était une référence pour moi, il a début à Rosario Central, le club qui m’a fait connaître aussi. J’ai eu la chance de pouvoir jouer avec lui avant de venir jouer en Europe car il était revenu en Argentine. La boucle était bouclée.
Pourquoi je fais ma célébration avec le cœur ?
C’est pour ma femme, en 2008 elle est venue vivre avec moi au Portugal. Le jour où elle est arrivée nous avions un match avec Benfica. J’ai marqué et j’ai célébré en faisant le cœur avec mes mains. Et depuis, je l’ai toujours fait.
Mes rituels ?
Des tonnes ! (rires) Je fais tout le temps la même chose. Je fais beaucoup de choses : je prie, je demande à bien me sentir sur le terrain et bien finir le match. De prendre les bonnes décisions aussi. Je prends les mêmes choses, je fais les mêmes choses, je m’assois toujours au même endroit. J’en ai beaucoup.
ecthgow
27 mai 2020 at 20:46
même si il est parfois irrégulier, j’adore , super joueur
NicolasB
28 mai 2020 at 08:37
Il peut être agaçant, mais aussi décisif et très combatif.. il fait du bien !