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Verratti se confie sur ses numéro 24 et 6, puis évoque Ibrahimovic, Di Maria, ses buts et ses cartons au PSG

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Verratti se confie sur ses numéro 24 et 6, puis évoque Ibrahimovic, Di Maria, ses buts et ses cartons au PSG

Marco Verratti, milieu de 27 ans arrivé au Paris Saint-Germain en 2012 en provenance de Pescara (qui venant d’obtenir sa montée en Serie A), est revenu dans le dernier épisode de This is Paris sur son histoire avec Paris alors qu’il a joué il y a peu son 300e match au PSG (le 3-3 face à l’AS Monaco, 20e journée de Ligue 1). L’occasion de se confier sur son arrivée, ses numéro portés, Zlatan Ibrahimovic (attaquant parisien de 2012 à 2012), Angel Di Maria (ailier de 31 ans), ses buts et ses cartons jaunes.

Verratti « le 24 c’était la date de naissance de mon père. »

Mon arrivée ?

Le début c’était un peu un choc. Parce que j’avais l’habitude de m’amuser dans la ville avec mes amis. J’ai dû partir pour commencer une nouvelle expérience un peu loin de ma famille. Mais j’ai eu la chance d’arriver ici et d’avoir des personnes qui m’ont aidé dans la vie en général. J’ai aussi eu la chance de jouer avec des grands joueurs, dans un grand stade. C’était quelque chose de magnifique.

Pourquoi le numéro 24 (il a dorénavant le 6) à mon arrivée ?

Il ne restait pas beaucoup de numéros et le 24 c’était la date de naissance de mon père. J’ai changé après pour le 6, c’était plus pour Papus Camara car quand il a arrêté il voulait que je prenne son numéro. Moi, j’aimais bien le 6 aussi. Cela fait un moment que je l’ai maintenant.

Verratti « Ibrahimovic a été très important…on peut apprendre beaucoup de lui. »

Ibrahimovic ?

Il a été très important pour faire grandir encore plus le PSG. C’était un joueur et une personne avec beaucoup de personnalité. Il exige toujours le maximum de lui-même et des personnes à côté de lui, car c’est un sport collectif et on a besoin de tout le monde. C’était un garçon intelligent, on peut apprendre beaucoup de lui. Il faut aussi le comprendre, car il a un caractère qui fait qu’il dit les choses très directes. J’aime ça.

Di Maria ?

C’est un joueur extraordinaire. Il n’y en a pas beaucoup comme lui. Je pense que Robben avait un peu le même style. C’est un type de joueur très important dans le football aujourd’hui. Ils sont incroyables en 1 contre 1, c’est aussi un joueur très généreux, qui fait 15-20 passes décisives par an. Il est altruiste et se donne à fond pour l’équipe. On l’a vu à chaque année depuis qu’il est arrivé. J’ai la chance d’avoir partagé beaucoup de moments avec lui et de continuer à en partager.

9 buts ?

C’est toujours joli de marquer, après il y a des buts plus jolis et des buts plus importants. Celui contre Barcelone était décisif, à la maison, en Ligue des Champions, on a gagné, c’était un beau match. C’est le but dont je me rappelle avec le plus de bonheur.

Mon but contre Bastia (5-0) lors de mon 200e match ?

J’ai marqué alors que Blaise (Matuidi) était par terre, c’est moi un peu. Les choses étranges peuvent passer. J’ai frappé pour faire arrêter l’action, même s’il n’avait rien de grave, et le ballon va parfaitement dans le football. Je ne le voulais même pas.

Verratti « Mon carton le plus bizarre, c’était celui de la passe avec la tête. »

La qualification à Chelsea en 2015 ?

C’était un exploit, en jouant à 10. C’était à l’extérieur, mais on avait beaucoup de supporters. On avait tout fait pour y arriver. On a peu un peu de chance, mais je pense qu’elle va toujours du côté de celui qui croit que ça peut arriver.

Mes cartons jaunes ?

Le plus bizarre, c’était celui de la passe avec la tête. Je n’avais pas compris la règle. Je pourrais comprendre si Trapp prend le ballon avec les mains, mais là non alors je peux faire ma passe de la tête. On peut me prendre pour un fou mais moi je me dis qu’il n’y a pas de problème. Je n’ai pas triché. Mais la règle dit que c’est anti-sportif, on ne peut pas faire ça.

Le plus drôle, c’est quand je me suis accroché au short de l’adversaire. J’allais prendre le jaune pour arrêter de l’action, alors j’ai fait une faute comme ça. A la fin j’avais le genou coupé en deux parce que j’ai glissé comme sur la neige mais le terrain est dur.

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