Marquinhos soulagé que Mbappé ait annoncé qu’il reste au PSG

Ce dimanche, pour le compte de la 33e journée de Ligue 1, le Paris Saint-Germain affrontait l’AS Monaco au Parc des Princes. Marquinhos, défenseur parisien de 24 ans s’est arrêté en zone mixte après la victoire parisienne (3-1),

« C’est bien, ça nous a soulagés. On a pu profiter un maximum, prendre du plaisir. On a joué contre une équipe qu’on connaît et qu’on respecte. C’était une bonne réponse sur le terrain pour les trois derniers matches difficiles.

Neymar ? C’est un enfant qui aime bien être sur le terrain. On le voyait déjà à l’entraînement mais le staff a pris le temps pour son retour pour qu’il retrouve la confiance et ses appuis. C’était important qu’il retrouve le terrain avant le match du week-end prochain, on connaît sa force et son importance.

Que Mbappé ait dit qu’il reste au PSG fait du bien.

Mbappé ? C’est un joueur important, et c’est important de garder les joueurs-clés et de renforcer aussi les postes qui en ont besoin car les saisons sont longues. Le fait qu’il ait dit qu’il reste nous fait du bien. On est très heureux de le voir avec le maillot du PSG ».

Sur la première mi-temps, on a pu bien constater que Marquinhos fait beaucoup de bien à une défense privée de Thiago Silva. Kehrer et Kimpembe ont même semblé plus sereins. Dans le jeu, il y a eu quelques bonnes choses et les buts n’étaient pas volés. Cependant, le 2-0 était un peu flatteur. C’était mieux que les derniers matchs, de quoi se remettre en confiance, mais on espérait encore du mieux en seconde période. Notamment avec les possibles entrées de Cavani, Neymar et Di Maria.

Finalement, il n’y a que les deux premiers qui sont entrés en jeu. Neymar a créé quelques bonnes occasions mais les autres Parisiens voulaient un peu trop le faire marquer. Cavani a montré qu’il a toujours la même détermination et a marqué un beau but de la tête, mais hors-jeu. Le reste n’a pas forcément été palpitant, à part quelques beaux mouvements de Mbappé et un 3e but.

Même s’il y avait du sérieux, les Parisiens ont semblé fatigués au fil du temps et manquaient d’automatismes pour créer des occasions en seconde période à part sur les contres.