PSG/Nice – Le Marchand « Ils étaient au-dessus…On prend une claque »

Ce vendredi, le Paris Saint-Germain recevait l’OCG Nice au Parc des Princes en ouverture de la 11e journée de Ligue 1. Un match joliment remporté par les Parisiens sur le score de 3 buts à 0 avec notamment un doublé d’Edinson Cavani. Au terme de la rencontre, le défenseur niçois Maxime Le Marchand (28 ans) revient sur l’échec de son équipe tout en mettant un accent particulier sur la supériorité du PSG.

« On a été complètement inférieurs, dans tous les domaines, que ce soit les duels, les anticipations ou l’organisation tactique. C’est une grande équipe, on voit qu’on est complètement inférieurs, même si on a rien lâché jusqu’au bout. Ils étaient au-dessus techniquement.

On n’a pas trouvé les solutions sous pression, contrairement à eux. On prend une claque. On va bien travailler maintenant, s’y remettre, il faut qu’il y ait une grosse prise de conscience de la part de tout le monde. »

Cette fois, le PSG a fait ce qu’il faut pour être plus fort.

Après la prestation décevante du club de la capitale le dimanche dernier face à l’Olympique de Marseille, Paris s’est relancé face à une équipe de l’OCG Nice loin d’être à la hauteur ce vendredi. L’ouverture du score d’Edinson Cavani dès la 3e minute de jeu a forcément été un gros coup dur pour Nice. Difficile alors d’avoir l’espoir de faire un bon résultat, surtout que le PSG prend confiance.

On a pu voir presque tous les joueurs du PSG affiche un bon niveau ce soir, sauf Kylian Mbappé qui a été bien moins inspiré. De la défense à l’attaque, les duels ont globalement été remportés par les Rouges et Bleus. Il ne faut pas dire aujourd’hui que l’équipe niçoise n’a pas voulu opposer une résistance au jeu des Parisiens, on a même pu voir une certaine combativité et quelques beaux enchaînements. Seulement, le PSG a affiché un bien meilleur visage que sur les derniers matchs et s’est rapproché de son meilleur niveau (même s’il reste du travail). Sûrement que les erreurs passées ont servi de leçon aux Parisiens. A eux de ne pas les oublier.