Autour du PSG
PSG – Ménès choisit Cavani en buteur de son équipe type..B
Le buteur Uruguayen du Paris Saint-Germain, longtemps décrié par Pierre Menès durant cette saison 2014-2015, jusqu’à un seuil qui a laissé dire par certains qu’il était son souffre-douleur en championnat cette année, vient d’être sélectionné par ce même journaliste footballistique, pour figurer en buteur d’une équipe type B de ligue 1 pour la saison 2014-2015, qu’il a concocté à l’occasion de la fin de cette saison, couronnée par le quadruplé historique du PSG.
Voilà, Pierre Menès intègre dans son équipe type B le chasseur des filets, pour pallier, peut-être, son absence dans l’équipe type de Ligue 1, dont les heureux élus furent sacrés à la cérémonie des trophées de l’UNFP le 17 mai 2015.
S’il est vrai que le meilleur buteur du championnat cette saison, Alexandre Lacazette, fut sacré lors de cette cérémonie, meilleur joueur de ligue 1, il n’en demeure pas moins que Les résultats et le sens inné des buts chez El Matador, le classent au dessus du lot des attaquants de la Ligue 1.
C’est peut-être dans cet esprit, que l’idée de mettre en pointe de son équipe type Edinson Cavani, est venu au journaliste sportif, lequel va même jusqu’à s’incliner devant celui qui a fait une saison à 31 buts, et justifie même cette présence du buteur dans son équipe type par le fait « qu’en l’absence d’Ibra il a été l’homme clé du PSG en phase de poule de Ligue des Champions, il a marqué trois buts lors des deux finales de Coupe et a très bien fini la saison, certes face à des équipes de niveau assez moyen voire démobilisées ».
Est-ce un mea-culpa (mesuré puisque ce n’est que l’équipe B) du spécialiste du foot devant les résultats réalisés cette saison par un Matador, en moyenne forme il faut dire et loin très loin du sommet de son art déjà annoncé lors de son passage en Italie (104 buts en 138 matchs avec Naples en trois saisons de 2010 à 2013) ?
Ca semble presque le cas puisqu’il rajoute « qu’en dépit de tout ce que j’ai pu lui reprocher cette saison – en particulier le nombre hallucinant d’occasions qu’il goinfre à chaque match – j’espère que cette fin de saison va lui donner la confiance pour avoir l’an prochain un ratio occasions/buts bien supérieur. Si cela avait été le cas cette saison, il aurait allègrement franchi les 40 buts ».
Ce qui retient surtout l’attention cette saison, ce que figurant ou pas dans une équipe type, le Matador (31 buts en 52 matchs joués) a convaincu par ses résultats et ses statistiques en ayant un indice de buts/matchs joués, meilleur que celui que son homologue au Barça, Luis Suarez (24 buts en 42 matchs joués) par exemple, alors qu’il n’a pas encore atteint sa vitesse de croisière (il marqué le plus de buts avec Naples lors de la troisième saison).