Autour du PSG
PSG – Un projet critiqué avec beaucoup de mauvaise foi et peu de mémoire
Depuis la reprise du Paris Saint-Germain par QSI et les premiers investissements sur le marché des transferts, de nombreux clubs n’ont de cesse d’évoquer « l’argent » pour qualifier notre équipe, minimisant alors le mérite du club. Certes les nouveaux investisseurs ont été obligés de remettre l’effectif à niveau en effectuant des achats parfois très coûteux mais pour la plupart cohérents et qui sont justifiés comme le prouvent les prestations de Javier Pastore, Verratti, Ibra, Thiago Silva. Et puis, ceux qui critiquent peuvent-ils vraiment dire qu’ils ont ou feraient différemment?
Ces attaques des clubs concurrents signifieraient que leurs clubs ont été bâtis sur la simple intelligence de leurs dirigeants, en comptant sur le centre de formation ou une opportunité gratuite ou à bas prix sur le marché des transferts. Mais la réalité est toute autre et il faudrait rappeler certaines vérités à ces clubs. En effet, lorsque le PSG était obligé de faire tout un montage financier pour se payer Nenê, dont le transfert est estimé à 5 millions d’euros, ou que l’on recrutait des joueurs indignes d’un grand club que voulait être le PSG car ils étaient à notre portée financièrement, d’autres clubs victimes aujourd’hui d’Alzheimer, apparemment, flambaient sur le marché des transferts.
Ainsi Lyon, l’une des plus mauvaises langues, a dépensé pas moins de 100M d’euros en moins de 18 mois pour s’attirer 7 joueurs ( Diakhité, Lovren, CIssokho, Bastos, Briand, Gomis et Lisandro), sans omettre d’évoquer les transferts de Keita, Bodmer, Makoun, et bien d’autres encore comme Ederson. Marseille, dont les supporters semblent eux aussi victimes d’amnésie, ont semble-t-il oublié le transfert de Lucho pour 22 millions d’euros. Puis la saison suivante ceux de Rémy et Gignac pour 31 millions.
Mais si on remonte plus en arrière, on peut aussi évoquer le transfert de Chris Waddle qui devient à ce moment-là le 3è plus coûteux de l’histoire du foot derrière ceux de Maradona et Ruud Gullit, rien que ça! Et les exemples sont encore nombreux. Donc, vous l’aurez bien compris, les paroles des dirigeants de ces clubs en particuliers, et d’autres encore, tant sur la scène nationale qu’internationale, ne sont que le fruit de la mauvaise foi.
Et tout projet que ce soit dans le foot ou dans le monde extérieur nécessite un investissement important au départ lorsque le club repris n’a clairement pas le standing mérité et voulu dans le projet. Alors on finira en disant simplement à ces clubs, ce que le président Nasser al Khelaifi a déjà dit à Jean-Michel Aulas: »Le PSG ne critique jamais les autres clubs (…) Laissez-nous faire avancer le PSG comme on le souhaite.”
Un article rédigé par PSG.alger, un membre de la communauté, que l’équipe Parisfans remercie.