Autour du PSG
Leipzig/PSG – L’équipe parisienne selon la presse, un possible 4-2-3-1 avec Paredes
Dimanche soir, le Paris Saint-Germain a continué sa préparation de la demi-finale de la Ligue des Champions contre le RB Leipzig ce mardi soir à Lisbonne (coup d’envoi à 21h et diffusion sur RMC Sport). Cela avec une séance d’entraînement observée par les médias. Le lendemain, Le Parisien évoque seulement le retour d’un milieu de terrain à 2 récupérateurs et donc un éventuel 4-4-2. L’Equipe va plus loin en parlant du 4-2-3-1.
» Tuchel semblerait, au vu des dernières séances, enclin à revenir au système qu’il avait mis en place contre Saint-Étienne, en finale de Coupe de France (1-0, le 24 juillet), celui qui lui permet d’aligner les quatre fantastiques même si, parmi eux, certains le sont un peu moins que d’autres.
Dans ce schéma, l’entraîneur allemand pourrait demander à Neymar d’évoluer davantage dans une position de meneur de jeu, comme contre le club bergamasque, moins comme un attaquant excentré, ce qui était son cas lors des huitièmes contre le Borussia Dortmund (1-2, 2-0). Mbappé et Di Maria seraient alors les deux joueurs chargés de se replier sur les côtés à la perte du ballon, au moins d’en dissuader les relances, ainsi qu’ils l’avaient travaillé lors du mini-stage de Faro. Mais ils auraient aussi une assez grande latitude pour permuter et compenser.
« À la récupération, à côté de Marquinhos, la candidature de Leandro Paredes prend donc chaque jour un peu plus d’épaisseur. »
Cette hypothèse prend d’autant plus d’épaisseur qu’Idrissa Gueye ne s’est pas entraîné avec ses coéquipiers hier soir. (…) À la récupération, à côté de Marquinhos, la candidature de Leandro Paredes prend donc chaque jour un peu plus d’épaisseur. L’Argentin était déjà en balance avec Herrera dans un rôle de relayeur pour le quart de finale. Cette fois, quel que soit le schéma utilisé, Tuchel ne devrait pas s’en priver. »
Des affirmations face auxquelles on reste forcément très prudent puisque L’Equipe n’est pas le plus fiable à propos des annonces sur la composition d’équipe. On retient tout de même l’option, puisqu’elle est loin d’être insensée. Surtout que le 4-4-2 et le 4-2-3-1 restent très proches. D’autant plus que Neymar aime prendre un peu de liberté pour se placer en meneur de jeu et Mbappé peut décrocher sur la gauche pour avoir plus de place, utiliser sa vitesse et revenir vers l’axe. Il arrive en fait souvent que Paris défende en 4-4-2 et attaque plus ou moins en 4-2-3-1. De toute façon, un schéma n’est jamais figé, il y a beaucoup d’animation.
Avec les absences probables d’Idrissa Gueye (30 ans) et Marco Verratti (30 ans), il y a du sens à jouer avec deux vrais récupérateurs et de garder un remplaçant sur le banc. On pourrait avoir Marquinhos (26 ans) et Leandro Paredes (26 ans) dans ce rôle, avec Ander Herrera (31 ans) qui est prêt à entrer si et quand c’est nécessaire. Peut-être que l’on en saura plus d’ici demain.
Alexandre Molle
17 août 2020 at 09:59
Verratti n’a pas 30 ans il en a 27.
Un an de plus que Marquinhos.
Je l’ai toujours dit, Paredes est un très bon joueur à la récupération il sera plus qu’utile et en plus il a une excellente frappe tire bien les coups francs.
Je vois Paris aller en finale de la compétition
Christos L.
17 août 2020 at 09:51
Le groupement de plusieurs facteurs constituent la force d’une équipe de football.
– L’Entraineur : – il doit être « tacticien expérimenté » ; – posséder un « aura » qui lui permet de se faire accepter ; – imposer un « respect naturel » (exemples : Zidane ; Guy Roux).
– Les Joueurs : – une parfaite entente est nécessaire à tous les postes pour créer un ensemble homogène ; – aucune animosité entre joueurs ne doit être admise, ni sur le terrain ni en dehors ; – aucun ostracisme envers un joueur n’est permis ; – chaque joueur doit être confirmé et encouragé sur sa valeur et en cas de baisse de rendement aidé et encouragé plutôt que rejeté sèchement.
– Le facteur « chance » au football joue un rôle peu négligeable et vient souvent satisfaire les uns et pénaliser les autres. Facteur non contrôlable.
L’OL a bénéficié de tous ces facteurs favorables avec en plus, une détermination et une volonté incroyables présentes à ses trois dernières sorties.
Le PSG, cher à mon cœur, malgré ses individualités de haut niveau, ne possède pas encore, malheureusement, tous les facteurs pour surmonter tous les obstacles de la réussite. Espérons que je me trompe.
Apulée Madaure
17 août 2020 at 12:36
C’est ce qu’on appelle « parler pour ne rien dire »
En matière de langue de bois, rassurez-vous, vous avez UNE bonne aura